NOTES
Villemain et Guizot partagent cette thèse mais l'atténuent beaucoup, Villemain surtout: « La réputation de Shakespeare a surtout grandi dans les deux siècles qui suivirent sa mort; et c'est pendant cette période que l'admiration pour son génie est devenue, pour ainsi dire, un culte national. Mais dans son siècle même, sa perte avait été vivement ressentie, et honorée des plus éclatants témoignages de respect et d'enthousiasme. Ben-Johnson, son faible rival, lui rendit hommage... » (ouvrage cité, p. 47.)